Depuis le 1er septembre 2021, l’école élémentaire Richard Mique et l’école élémentaire d’application Pershing ont fusionné. Elles ne forment plus qu’une seule école qui se nomme : École élémentaire Jacqueline Fleury.
Pourquoi un tel projet ?
La mairie de Versailles est à l’initiative de ce projet de fusion. La ville souhaitait améliorer l’accueil des élèves en situation de handicap du dispositif ULIS intégré à l’école Pershing depuis 2017. En effet, cette fusion permet un meilleur accueil grâce au nombre plus important de classes.
Par ailleurs, cette fusion apporte une plus grande cohérence dans la gestion du secteur scolaire. En effet, depuis la fermeture de l’école maternelle La Farandole, les deux écoles élémentaires recrutent les élèves issus de l’école maternelle Richard Mique.
Enfin, les deux écoles élémentaires occupent les mêmes locaux et une structure périscolaire unique gère la cantine et l’étude surveillée pour les élèves.
Quelle organisation pédagogique ?
Cette nouvelle école compte 12 classes et intègre un dispositif Ulis.
Les classes occupent les deux bâtiments, comme avant la fusion, en attendant que des travaux d’aménagement soient réalisés pour que l’ensemble des classes puissent se retrouver dans un seul bâtiment.
Les groupes-classes ont été constitués en mélangeant les élèves des deux écoles.
Au niveau de l’équipe pédagogique, vous retrouvez l’ensemble des enseignants des anciennes équipes « Mique » et « Pershing » : Mesdames Cossin, de la Crouée, Dubois, Laval, Laroche, Letailleur, Lezaud, Morvan, Perret, Rasplus, Rol-Dupouy et Monsieur Brolles qui aura en charge la direction. Par ailleurs, nous accueillerons deux nouvelles collègues, Mesdames François et Gardé.
Pourquoi cette nouvelle école portera-t-elle le nom de Jacqueline Fleury ?
Par décision du conseil municipal du 17 juin 2021 (page 5 du CR), cette nouvelle structure scolaire prendra la nom de Jacqueline Fleury qui est une versaillaise née en 1923, résistante et déportée durant la seconde guerre mondiale. Elle a inlassablement témoigné des atrocités de la guerre dans les établissements scolaires et a participé à la création du concours national de la résistance et de la déportation.